Une mort qui en vaut la peine : roman

Edité par Albin Michel. Paris - 2016

Collection : Terres d'Amérique

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Avis

Avis des lecteurs

  • Déçue... 3/5

    GloOoups ! Overdose de rednecks ! Jésus Marie Joseph, si vous saviez comme je suis contente d’avoir refermé ce livre ! Et pourtant, lorsque je l’ai vu à la bibliothèque, j’ai sauté dessus : j’ai tellement aimé Le diable, tout le temps que j’avais hâte de renouveler l’expérience… Hélas, ce fut un flop. I repeat, it was a flop. Je ne lis jamais de critiques avant de me faire ma propre idée mais je suis prête à parier un pack de Pabst Blue Ribbon que je vais être à contre-courant de l’avis général concernant cette mort qui n’en vaut pas la peine mais tant pis, c’est comme ça, j’assume. Pour moi, c’est comme si Donald Ray Pollock était devenu boulimique, il a voulu trop en mettre, trop en faire - et moi, ce type de grosse mélasse maronnasse, c’est pas mon truc (c’est peut-être son premier prénom qui ne lui réussit pas, allez savoir, ça pourrait se comprendre remarquez). Il y a du ‘too much’ un peu partout dans ces pages : personnages trop caricaturaux, trop de détours vers les histoires secondaires des personnages du même nom (dont on se fiche, enfin moi oui), trop de misérabilisme, trop de ‘pittoresque’ à la mords-moi-le-nœud, trop d’invraisemblance et trop de claques qui se perdent aussi (ouais, Jewett père, des claques ! Ellsworth Fiddler, pareil, des claques ! et j’en passe…) Bref, c’est pas possible d’être aussi caricatural, franchement c’était au-dessus de mes forces. Du coup, après avoir tenté avec application de rentrer dans cette foutue histoire pendant 190 pages, je suis passé en mode super diagonale du fou afin d’en finir une bonne fois pour toutes. Ouf ça va, je respire mieux ! Je suis vraiment déçue, c’est dommage. Au début j’ai pensé un peu au sillage de l’oubli de Bruce Machart (que j’ai beaucoup aimé) où on voit aussi un père et ses fils trimer comme des bêtes en grattant une terre stérile pour trois cacahuètes et demi mais la comparaison s’arrête là. Autant l’un était noir, sobre et percutant, autant le second ressemble à une symphonie baroque en bouse mineure. Mais soyons clair, ce ne sont pas les bouseux, loqueteux, loosers ou tordus en tout genre qui me dérangent, non, au contraire, par contre j’aime trouver davantage de nuances, davantage de subtilité et j’aime aussi quand c’est moins foisonnant et quand il y a moins de monde (ça c’est vrai dans la vraie vie aussi d’ailleurs, comme quoi on ne se refait pas…). Je trouve qu’à vouloir en faire trop, on passe à côté de l’essentiel. Je trouve le noir meilleur quand il est profond. J’espère que monsieur Pollock tournera sa plume sept fois dans son encre la prochaine fois et qu’il accouchera d’un roman plus concentré. Ce n’est que mon humble avis, inutile de sortir vos Colt, Remington et autres Smith & Wesson, je ne suis pas prête à me battre pour ça non plus ;)

    REBBY - Le 22 février 2017 à 11:41