Alexandre le bienheureux

Edité par Gaumont. Neuilly-sur-Seine - 2013

Type de document
Films
Langue
français
Descr. physique
1 DVD (01 h 31 mn) ; coul., (PAL)
Sujets
1er mention de responsabilité
  • Yves Robert, réal., scénario
Autres mentions de responsabilité
  • Pierre Lévy-corti, scénario
Note sur la publication
  • Prod. : Les Films de la Colombe, cop. 1967
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Biographie

{{Japonais|Akira Kurosawa|黒澤 明|Kurosawa Akira}} est un réalisateur, producteur, scénariste et monteur japonais, né le 23 mars 1910 à Tokyo, où il est mort le 6 septembre 1998. Il est considéré comme l'un des cinéastes les plus célèbres et influents de l'histoire du cinéma. En cinquante-sept ans de carrière cinématographique, il a réalisé plus de trente films. Après une brève expérience de peintre, Akira Kurosawa entre dans l'industrie cinématographique japonaise en 1936 en tant qu'assistant réalisateur et scénariste. Il fait ses débuts en tant que réalisateur pendant la Seconde Guerre mondiale avec le film d'action populaire {{Japonais|La Légende du grand judo|姿三四郎|Sugata Sanshirō|1943}}. Son huitième long métrage, {{Japonais|L'Ange ivre|酔いどれ天使|Yoidore tenshi}}, sort en 1948 et est acclamé par la critique, consolidant sa réputation. Ce film marque les débuts de sa collaboration avec l'acteur Toshirō Mifune, qui va tourner dans seize de ses films. Pour {{Japonais|Rashōmon|羅生門}}, dont la première a lieu à Tokyo en août 1950, Akira Kurosawa reçoit le Lion d'or à la Mostra de Venise 1951. Cette récompense inattendue permet au film d'être diffusé en Europe et en Amérique du Nord. Son succès public et critique ouvre les portes de l'Occident au cinéma japonais et permet à d'autres cinéastes japonais d'obtenir une reconnaissance internationale. Des années 1950 au début des années 1960, Kurosawa réalise environ un film par an, dont {{Japonais|Vivre|生きる|Ikiru|1952}}, {{Japonais|Les Sept Samouraïs|七人の侍|Shichinin no samurai|1954}} et {{Japonais|Le Garde du corps|用心棒|Yōjinbō|1961}}. Au début des années 1970, il devient beaucoup moins prolifique, mais ses œuvres tardives {{Incise|dont {{Japonais|Kagemusha, l'Ombre du guerrier|影武者|Kagemusha|1980}} et {{Japonais|Ran|乱||1985}}}} continuent de remporter des prix, dont la Palme d'or au Festival de Cannes 1980 pour Kagemusha. En 1990, il reçoit l'Oscar d'honneur décerné par l'{{Langue|en|Academy of Motion Picture Arts and Sciences}} pour l'ensemble de ses réalisations qui ont inspiré, ravi, enrichi et diverti le public mondial et influencé les cinéastes du monde entier. En 1999, il est nommé à titre posthume « Personnalité asiatique du siècle » dans la catégorie « Arts, littérature, et culture » par le magazine Asiaweek et CNN, présenté comme l'une des cinq personnes ayant le plus contribué à l'épanouissement de l'Asie durant les cent dernières années.