La bonne vie : roman

Edité par Flammarion. Paris - 2018

Collection : Littérature française

Type de document
Romans adultes
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (154 p.) ; 21 x 14 cm
1er mention de responsabilité
  • Matthieu Mégevand
Résumé
  • Une biographie romancée du poète Roger Gilbert-Lecomte qui vécut en France pendant la première moitié du XXe siècle et fut le fondateur avec René Daumal, Roger Vailland et Robert Meyrat de la revue Le grand jeu. Si son oeuvre est succincte, il chercha toute sa vie à dépasser la condition humaine, par la littérature ou diverses substances. ©Electre 2018

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Biographie

Stanley Kubrick (prononcé en anglais : /ˈstænli ˈkubɹɪk/. Largement considéré comme l'un des plus grands cinéastes de tous les temps, ses films sont presque tous des adaptations de romans ou de nouvelles, couvrant un certain nombre de genres et étant reconnus pour l'attention intense portée aux détails, leur photographie innovante, leur scénographie approfondie et leur humour noir. La violence humaine est le leitmotiv qui traverse toute l’œuvre du cinéaste. Originaire de New York, Kubrick est un élève moyen mais manifeste dès son plus jeune âge un vif intérêt pour la littérature, la photographie et le cinéma. Il commence à apprendre en autodidacte tous les aspects de la production et de la réalisation de films après son diplôme d'études secondaires. Après avoir travaillé comme photographe pour le magazine Look à la fin des années 1940 et au début des années 1950, il commence à réaliser des courts métrages à petit budget et réalise son premier grand film hollywoodien, L'Ultime Razzia, pour United Artists en 1956. S'ensuivent deux collaborations avec Kirk Douglas : le film anti-guerre Les Sentiers de la gloire (1957) et le film épique Spartacus (1960). En 1961, Kubrick quitte les États-Unis en raison de préoccupations concernant la criminalité dans le pays, ainsi que d'une aversion croissante pour le fonctionnement d'Hollywood et de divergences créatives avec Douglas et les studios de cinéma. Il s'installe en Angleterre, qu'il ne quitte que quelques fois pour le reste de sa vie. En 1977, il élit domicile, avec son épouse Christiane, à {{Lien|langue=en|trad=Childwickbury Manor}}, qui devient son lieu de travail où il centralise l'écriture, la recherche, le montage et la gestion de ses productions. Cela lui permet un contrôle artistique presque total sur ses films, avec le rare avantage du soutien financier des grands studios hollywoodiens. Ses premières productions en Angleterre sont deux films avec Peter Sellers : une adaptation du roman Lolita de Nabokov sortie en 1962 et la comédie noire Docteur Folamour (1964). Perfectionniste assumant un contrôle direct sur la plupart des aspects de sa réalisation cinématographique, Kubrick cultive une expertise en écriture, montage, étalonnage, promotion et exploitation. Il est célèbre pour le soin minutieux apporté à la recherche et à la mise en scène de ses films, réalisées en étroite coordination avec ses acteurs, son équipe et d'autres collaborateurs. Il demande fréquemment plusieurs dizaines de reprises du même plan dans un film, déroutant et frustrant souvent ses acteurs. Malgré la notoriété que cela apporte, nombre de ses films innovent en matière de cinéma et sont désormais considérés comme des références. Le réalisme scientifique et les effets spéciaux innovants de son épopée de science-fiction 2001, l'Odyssée de l'espace (1968) sont une première dans l'histoire du cinéma, et le film lui vaut le seul Oscar de sa carrière (pour les meilleurs effets visuels). Steven Spielberg a qualifié 2001 de « big bang » de sa génération et il est considéré comme l'un des meilleurs films jamais réalisés. Alors que de nombreux films de Kubrick sont controversés à leur sortie et reçoivent des critiques mitigées (en particulier le brutal Orange mécanique (1971), que Kubrick retire de la circulation au Royaume-Uni à la suite d'une frénésie médiatique) la plupart sont nommés aux Oscars, aux Golden Globes, ou aux BAFTA, et bénéficient de réévaluations des critiques. Pour le film d'époque du XVIIIe Barry Lyndon (1975), Kubrick obtient des objectifs développés par Carl Zeiss pour la NASA pour filmer des scènes à la lueur des bougies. Avec le film d'horreur Shining (1980), il devient l'un des premiers réalisateurs à utiliser un steadicam pour des travellings stabilisés et fluides, une technologie vitale pour son film suivant sur la guerre du Viêt Nam, Full Metal Jacket (1987). Quelques jours après avoir organisé une projection pour sa famille et les acteurs de son dernier film, le drame érotique Eyes Wide Shut (1999), il meurt d'une crise cardiaque à l'âge de 70 ans.