Une dernière danse

Edité par Editions les Escales. Paris - 2014

Type de document
Romans adultes
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (452 p.) ; 23 x 15 cm
1er mention de responsabilité
  • Victoria Hislop
Autres mentions de responsabilité
  • traduit de l'anglais par Séverine Quelet
Résumé
  • Londonienne, Sonia se rend à Grenade afin d'y suivre des cours de danse flamenco. Au hasard d'une conversation entendue dans le café El Barril, elle plonge dans le passé tragique de la cité andalouse. Lors de la guerre civile, le café était tenu par les frères Ramirez, qui veillaient jalousement sur leur soeur, Mercedes. Férue de danse, la jeune femme allait s'éprendre d'un guitariste gitan.
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Biographie

Karl Kraus est un écrivain autrichien né le 28 avril 1874 à Gitschin en Bohême dans l’Empire austro-hongrois (aujourd’hui Jičín en République tchèque) et mort le 12 juin 1936 à Vienne, ville dans laquelle il a vécu la plus grande partie de sa vie. Auteur d’une œuvre monumentale, dramaturge, poète, essayiste voire acteur lors de ses lectures publiques, il a aussi et surtout été un satiriste et un pamphlétaire redouté. Il dénonçait avec la plus grande virulence, dans les pages de Die Fackel, la revue qu’il avait fondée et dont il a pendant presque quarante ans été le rédacteur à peu près exclusif, les compromissions, les dénis de justice et la corruption de la bourgeoisie viennoise et avant tout de la presse. Représentant éminent d’une Kulturkritik essentiellement fondée sur la critique linguistique et, partant, de la presse, il se voulait le défenseur de la littérature, voire de la langue allemande elle-même, et de l’imagination face au pseudo-réalisme médiatique. D’origine juive, Kraus défendait l’assimilation des Juifs et n’hésitait pas à critiquer la bourgeoisie juive, et notamment la revue Neue Freie Presse emblématique de celle-ci, ainsi que le sionisme. Cela l’amena à prendre le parti des anti-dreyfusards et même à être parfois accusé d’antisémitisme. S’étant grandement affairé à défendre la liberté sexuelle contre la moralité et la juridiction de l’époque, il fut l’un des rares à ne pas tomber sous l’emprise de la frénésie martiale qui se propageait au commencement de la Première Guerre mondiale et s’employa au pacifisme et à la social-démocratie avant qu’il ne se distanciât à nouveau de cette dernière, considérant qu’elle était trop naïve pour résister au national-socialisme, voire qu’elle avait frayé la voie à celui-ci. Il écrira alors un chef-d’œuvre, Les Derniers jours de l’humanité, une pièce de théâtre dénonçant la boucherie de 1914–1918 sur près de 800 pages. En 1933, il écrira la Troisième nuit de Walpurgis, dénonciation féroce et lucide du national-socialisme.