La vie en Rosalie : roman

Edité par Ed. de la Loupe. Paris - 2016

Collection : 20

Type de document
Editions adaptées - gros caractères
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (438 p.) ; 22 x 15 cm
1er mention de responsabilité
  • Nicolas Barreau
Autres mentions de responsabilité
  • traduit de l'allemand par Sabine Wyckaert-Fetick
Résumé
  • A Paris, rue du Dragon, Rosalie tient une jolie papeterie. Un jour, Max Marchais, un illustrateur qu'elle admire, entre et lui propose d'illustrer son nouveau conte, Le tigre bleu. Rosalie est ravie jusqu'à l'arrivée d'un professeur de littérature qui soutient que cette histoire est la sienne. Les deux jeunes gens vont mener l'enquête et mettre au jour un secret qui les liera à tout jamais.
Public destinataire
  • Lectorat de livres en grands caractères
Disponible

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Documentaires Adultes - 2005 - Carnets intimes

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Quatrième de couverture

Ce livre vous présente Le Testament d'Heiligenstadt et les Carnets de notes connus sous le nom de Manuscrit Fischhoff (1804-1818).

Il s'agit véritablement d'une oeuvre singulière. « ... Ne disons pas qu'un homme s'y confesse ; et moins encore qu'il s'y analyse. Constatons seulement qu'il y réagit selon l'existence de son tempérament et qu'il apparaît ici tel qu'il a réellement été dans sa vie, en marge de son art, préoccupé de choses grandes ou petites, mais toujours immédiates et urgentes pour lui-même, en intime relation avec son isolement et son génie. »

Biographie

Une fois les influences héroïques assimilées, après avoir véritablement pris le nouveau chemin sur lequel il souhaitait s’engager, et après avoir définitivement affirmé sa personnalité à travers les réalisations d’une période créatrice allant de la Symphonie Héroïque jusqu’à la Septième Symphonie, Beethoven cesse de s’intéresser aux œuvres de ses contemporains, et par conséquent d’être influencé par elles. Parmi ses contemporains, seuls Cherubini et Schubert l’enchantent encore ; mais en aucune manière il ne songe à les imiter. Méprisant par-dessus tout l’opéra italien, et désapprouvant fermement le romantisme naissant, Beethoven sent alors le besoin de se tourner vers les piliers historiques de la musique : J.S. Bach et G.F. Haendel, ainsi que les grands maîtres de la renaissance, tels Palestrina. Parmi ces influences, la place de Haendel est plus que privilégiée : jamais sans doute n’eut-il de plus fervent admirateur que Beethoven ; qui (désignant ses œuvres complètes, qu’il vient de recevoir) s’écrie : Voilà la vérité ! ; ou encore Beethoven qui, au soir de sa vie, dit vouloir s’agenouiller sur sa tombe. De l’œuvre de Haendel, la musique du dernier Beethoven prend souvent l’aspect grandiose et généreux, par l’emploi de rythmes pointés comme c’est le cas dans l’introduction de la , dans le premier mouvement de la Neuvième symphonie ou encore dans la seconde Variation Diabelli ou même par un certain sens de l’harmonie, ainsi que le montrent les premières mesures du deuxième mouvement de la , entièrement harmonisées dans le plus pur style haendelien. C’est également l’inépuisable vitalité caractéristique de la musique de Haendel qui fascine Beethoven, et que l’on retrouve par exemple dans le fugato choral sur « {{langue|de|Freude, schöner Götterfunken}} » qui suit le célèbre « {{langue|de|Seid umschlungen, Millionen}} », dans le finale de la Neuvième symphonie : le thème qui y apparaît, balancé par un puissant rythme ternaire, relève d’une simplicité et d’une vivacité typiquement haendeliennes jusque dans ses moindres contours mélodiques. Un nouveau pas est franchi avec la Missa solemnis, où la marque des grandes œuvres chorales de Haendel se fait plus que jamais sentir. Beethoven est même tellement absorbé dans l’univers du Messie qu’il en retranscrit note pour note l’un des plus célèbres motifs de l’Halleluja dans le Gloria. Dans d’autres œuvres, on retrouve la nervosité que peuvent revêtir les rythmes pointés de Haendel parfaitement intégrée au style beethovénien, comme dans l’effervescente Grande Fugue ou encore dans le second mouvement de la , où cette influence se voit peu à peu littéralement transfigurée. Enfin, c’est également dans le domaine de la fugue que l’œuvre de Haendel imprègne Beethoven. Si les exemples du genre écrits par l’auteur du Messie reposent sur une parfaite maîtrise des techniques contrapuntiques, elles se fondent généralement sur des thèmes simples et suivent un cheminement qui ne prétend pas à l’extrême élaboration de fugues de Bach. C’est ce qui a dû satisfaire Beethoven, qui d’une part partage avec Haendel le souci de construire des œuvres entières à partir d’un matériau aussi simple et réduit que possible, et qui d’autre part ne possède pas les prédispositions pour le contrepoint qui lui permettraient d’y chercher une excessive sophistication.