Ames sauvages : le symbolisme dans les pays baltesexposition, Paris, Musée d'Orsay, 10 avril-15 juillet 2018

Edité par Musée d'Orsay. Paris - 2018

Type de document
Documentaires Adultes
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (259 p.) ; illustrations en couleur ; 32 x 25 cm
Sujets
1er mention de responsabilité
  • sous la direction de Rodolphe Rapetti
Résumé
  • Une rétrospective du mouvement symboliste, des années 1890 à 1930, en Estonie, Lettonie et Lituanie. Le catalogue met en exergue l'influence de la culture populaire, le folklore, les légendes locales et l'originalité des paysages à travers les oeuvres d'artistes méconnus hors de leur pays. ©Electre 2018
Public destinataire
  • Tout public
Autre titre
  • Exposition. 2018. Musée d'Orsay (Titre uniforme)
Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

En savoir plus

Quatrième de couverture

Le symbolisme européen et l'émancipation de la conscience qu'il véhicule sont indissociables dans les pays baltes de leur indépendance, survenue peu après la fin de la Première Guerre mondiale.

Par le recours à la légende ou au folklore, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie, au-delà de l'influence de Munch, de Gallen-Kallela, de Gauguin ou encore de Van Gogh, ont forgé un langage qui leur est propre, empreint de la beauté des paysages de ces pays entre mer et forêt.

La découverte de ces oeuvres singulières oblige à porter un regard nouveau sur ce mouvement artistique majeur à la charnière des XIXe et XXe siècles, le symbolisme.

« Je suis un sauvage », écrivait Paul Gauguin en route vers les îles Marquises. Un siècle plus tard, ces « âmes sauvages » sont enfin ici à l'honneur.

Avis

Avis des lecteurs

  • vers l'Est 3/5

    Bon ouvrage, qui rappelle judicieusement le contexte historique des pays baltes au tournant des dix-neuvième et vingtième siècles, et en présente une ribambelle d'artistes - dont UNE femme, parmi une quarantaine d'hommes -. Il n'est jamais trop tard pour bien faire, et on suppose qu'il nous faudra patienter une petite centaine d'années pour avoir un panorama des artistes baltes de la fin du vingtième et début du vingt-et-unième siècles. Mieux vaudra tard que jamais.

    step jam - Le 12 février 2019 à 08:44