Recherches logiques. Tome 1, Prolégomènes à la logique pure, Tome 1

Edité par Presses universitaires de France. Paris - 1990


Série :

Recherches logiques. , Tome 1

Collection : Epithémée

Type de document
Consultable sur demande
Langue
français
Descr. physique
304 p. ; 22 cm
Sujets
Note générale
  • Trad. de : "Logische Untersuchungen. Erster Band, Prolegomena zur reinen Logik"
1er mention de responsabilité
  • Edmund Husserl
Autres mentions de responsabilité
  • trad. de l'allemand par Hubert Elie, Arion L. Kelkel et René Scherer
Mention d’édition
  • 3e éd.
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Est une traduction de : Logische Untersuchungen
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Biographie

Edmund Husserl ˈʔɛtmʊnt ˈhʊsɐl, né le 8 avril 1859 à Prossnitz (empire d'Autriche) et mort le 27 avril 1938 à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne nazie), est un philosophe et logicien, autrichien de naissance, puis prussien, fondateur de la phénoménologie, qui eut une influence majeure sur l'ensemble de la philosophie du XXe. Husserl a étudié les mathématiques avec Karl Weierstrass et Leo Königsberger, et la philosophie avec Franz Brentano et Carl Stumpf. Il a enseigné la philosophie comme Privatdozent à l'université Martin-Luther de Halle-Wittemberg à partir de 1887 avant de devenir professeur en 1901 à l'université de Göttingen, puis à partir de 1916 et jusqu'à sa retraite en 1928 à l'université Albert Ludwig de Fribourg. Il est demeuré actif et productif jusqu'à sa mort en 1938. Ses archives sont conservées à l'Institut supérieur de philosophie de l'université catholique de Louvain. Dans ses premiers travaux, il essaye de combiner les mathématiques, la psychologie et la philosophie de façon à fonder les mathématiques. Il analyse le processus psychologique nécessaire au concept de nombre et essaie sur cette base de bâtir une théorie systématique. La pensée de Karl Weierstrass lui permet de soutenir l'idée que nous générons le concept de nombre en comptant une certaine collection d'objets. Il reprend à Brentano et à Stumpf la distinction propre/impropre : l'observateur se fait une représentation propre de l'objet s'il est physiquement présent devant lui et impropre (ou symbolique) dans les cas où l'objet est représenté par des signes et des symboles. Dans sa première œuvre majeure, Recherches logiques (1900-1901), il rompt avec le psychologisme et fonde la phénoménologie comme science destinée à supplanter les sciences de la nature qu'il juge inaptes à élucider le rapport de l'homme au monde{{sfn|Housset 2000|p=14}}. Deux autres œuvres majeures suivront : Idées I (1913) et Krisis (1936).