Les Grands polars de Jean-Pierre Mocky

Edité par ESC Editions. Paris - 2020 Date du film : 1970

Type de document
Films
Langue
français
Descr. physique
4 DVD (370 min) PAL ; 16/9, Couleur, Dolby Digital
Sujets
Note sur les versions
Langue(s) principale(s) : Français
1er mention de responsabilité
  • Jean-Pierre Mocky, réal.
Autres mentions de responsabilité
  • Sergio Amidei, Jean-Pierre Mocky, Alain Moury, scénario
Résumé
  • Le Témoin (1978) : À Reims, un riche provincial, M. Maurisson, homme d'affaires, mène une vie sans histoire. Il invite un jour son vieil ami Antonio, peintre italien, afin de restaurer les tableaux de la cathédrale. M. Maurisson commet un crime effroyable dans cette ville de notables: il étrangle une jeune fille de la chorale avec qui il avait eu une relation pédophile. Celle-ci ayant servi de modèle pour Antonio, les soupçons se portent sur lui. L'Ibis rouge (1975) : Un étrangleur maniaque, Jérémie, tue des jeunes femmes pendant que Raymond tente de persuader sa femme, Évelyne, de l'aider à rembourser une forte dette de jeu en vendant ses bijoux. Solo (1969) : Vincent Cabral, violoniste cambrioleur, part à la recherche de son frère Virgile qui dirige un groupe terroriste issu de Mai 68, exterminant les représentants de la bourgeoisie. L'Albatros (1971) : Prisonnier en fuite, Stef Tassel enlève Paula Cavalier, la fille d'un politicien en campagne électorale. Paula s'attache à son ravisseur (syndrome de Stockholm). Le film raconte leur cavale et fustige la corruption des mœurs en politique.
Public destinataire
  • Interdit aux moins de 12 ans
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Biographie

Jean-Pierre Mocky est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur de cinéma français, né le 6 juillet 1929 à Nice et mort le 8 août 2019 à {{arrondissement|7|Paris}}. Son œuvre compte plus de soixante longs métrages et quarante épisodes de séries pour la télévision. Il débute en tant qu'acteur au cinéma comme au théâtre et fait notamment partie de la Bande du Conservatoire. Il joue notamment dans Les Casse-pieds (1948) de Jean Dréville, Orphée (1950) de Jean Cocteau ou Le Gorille vous salue bien (1957) de Bernard Borderie. Mais c'est surtout en Italie qu'il devient célèbre, notamment grâce à son rôle dans Les Vaincus de Michelangelo Antonioni. Après avoir travaillé comme stagiaire auprès de Luchino Visconti pour Senso (1954) et de Federico Fellini pour La strada (1954), il écrit un premier film, La Tête contre les murs (1959) et projette de le réaliser lui-même, mais le producteur préfère confier cette tâche à Georges Franju. Il passe à la réalisation l'année suivante avec Les Dragueurs (1959). Depuis lors, il n'a jamais cessé de tourner. Dès les années 1960, il touche un vaste public avec des comédies déjantées comme Un drôle de paroissien (1963) ou La Grande Lessive (!) (1968). Après Mai 68, il se tourne vers le film noir avec Solo (1970), dans lequel il montre un groupe de jeunes terroristes d'extrême gauche, puis L'Albatros (1971), qui dénonce la corruption des personnalités politiques. Dans les années 1980, il renoue avec le succès avec un film dénonçant, un an avant le drame du Heysel, les dérives de certains supporters de football (À mort l'arbitre, 1984) puis une comédie dénonçant les hypocrisies autour du pèlerinage de Lourdes (Le Miraculé, 1987). Dans les années 1990 et 2000, ses films rencontrent moins de succès mais Jean-Pierre Mocky continue de tourner avec autant d'enthousiasme. Son cinéma, souvent satirique et pamphlétaire, s'inspire généralement de faits de société. Il travaille avec peu de moyens et tourne très rapidement. Il a notamment tourné avec Bourvil (Un drôle de paroissien, La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive (!) et L'Étalon), Fernandel (La Bourse et la Vie), Michel Simon (L'Ibis rouge), Michel Serrault (douze films dont Le Miraculé), Francis Blanche (cinq films dont La Cité de l'indicible peur), Jacqueline Maillan (cinq films), Jean Poiret (huit films) et avec les vedettes Catherine Deneuve (Agent trouble), Claude Jade (Bonsoir), Jane Birkin (Noir comme le souvenir), Jeanne Moreau (Le Miraculé) et Stéphane Audran (Les Saisons du plaisir). Il reçoit en 2010 le prix Henri-Langlois pour l'ensemble de sa carrière et le prix Alphonse-Allais en 2013. Le festival international du film Entrevues à Belfort en 2012 et la Cinémathèque française en 2014 lui consacrent une rétrospective intégrale.