L'Homme qui tua Liberty Valance = The Man Who Shot Liberty Valance

Edité par Paramount. Paris - 2002 Date du film : 1962

Type de document
Films
Langue
français ; anglais ; allemand ; castillan, espagnol ; italien
Descr. physique
1 DVD (1h32) PAL ; 16/9 compatible 4/3, Couleur, Dolby Digital 1.0 en Français, Allemand, Espagnol et Italien, 5.1 en Anglais
Sujets
Note générale
  • Compléments : Bande-annonce (VO)
Note sur les versions
Langues principales : Français, Anglais, Allemand, Espagnol, Italien
1er mention de responsabilité
  • John Ford, réal.
Autres mentions de responsabilité
  • James Warner Bellah, Willis Goldbeck, scénario
Résumé
  • Les journalistes présents à l'enterrement de Tom Doniphon demandent au sénateur Stoddard la raison de son retour. Il leur raconte l'histoire de l'homme qui tua Liberty Valance, un hors-la-loi pilleur de diligences...
Autre titre
  • The Man Who Shot Liberty Valance (Titre parallèle)
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Biographie

John Feeney{{note|groupe=alpha|texte=Ford a toujours prétendu avoir comme nom de naissance Sean Aloysius O'Feeney (Aloysius est le prénom d'emprunt qu'il choisit pour sa confirmation), mais son acte de baptême montre que John Ford s'appelait bien John Martin Feeney.}},, dit John Ford ˈd͡ʒɑn fɔɹd, est un réalisateur américain, également producteur, né le 1 février 1894 à Cape Elizabeth près de Portland (Maine) et mort le 31 août 1973 à Palm Desert (Californie). John Ford est l'un des réalisateurs américains les plus importants de la période classique de Hollywood (de la fin des années 1920 à la fin des années 1960). De tous les grands cinéastes américains, il est celui dont l'influence est la plus considérable. Sa carrière embrasse celle des studios puisqu'il arrive à Hollywood au moment où les grandes majors se mettent en place et il réalise son dernier film alors que ces majors commencent à être dirigées par des financiers. Ford est admiré et respecté par les grands patrons de Hollywood dont il est souvent l'ami : il tourne vite et respecte les budgets. Malgré cela, il se considère comme un salarié surpayé par ces studios pour faire des films dénués de son style afin de ne pas perturber les affaires de ses employeurs. Reconnue par ses pairs, son œuvre demeure connue du grand public pour ses westerns, genre qui ne représente pourtant qu'une partie de sa filmographie. Quatre fois lauréat de l'Oscar du meilleur réalisateur (un record toujours d'actualité), pour Le Mouchard (1935), Les Raisins de la colère (1940), Qu'elle était verte ma vallée (1941) et L'Homme tranquille (1952), Ford est avant tout le cinéaste de l'Amérique des simples gens, des pionniers, des fermiers, des émigrants, des ouvriers, des militaires obscurs, des natifs, des personnages tendres, dignes et généreux animés d'un sens aigu de la justice. Par ailleurs, Ford est considéré comme le cinéaste des grands espaces américains aux paysages grandioses et sauvages. Les films de Ford sont également fortement imprégnés de sa foi catholique. Ardent patriote, officier de réserve de l'US Navy lors de la Seconde Guerre mondiale qui finit amiral à titre honorifique, il voue une grande admiration et un grand respect à l'Amérique qui a accueilli ses ancêtres, en premier lieu son père, un catholique irlandais. Ford a par ailleurs parfois été considéré par certains comme un cinéaste réactionnaire et raciste bien que son œuvre et ses positions politiques montrent un cinéaste profondément démocrate et épris de liberté. John Ford est l'un des réalisateurs effectuant le moins de prises par plan, ce qui lui permet de garder la mainmise sur le montage des films. Le réalisateur Fred Zinnemann dira ainsi : Nous devons à John Ford le droit accordé au metteur en scène de superviser le montage. Ford a mis sa notoriété au service du syndicat des metteurs en scène américains, dont il est l'un des dirigeants les plus actifs. De plus, il fait preuve d'une fidélité remarquable tout au long de sa carrière envers sa « famille » d'acteurs (notamment John Wayne), de techniciens et de scénaristes, dont beaucoup sont originaires d'Irlande. Aujourd'hui, sa filmographie est amputée par la disparition de la quasi-totalité de ses premiers films, soit environ un tiers de son œuvre. L'un d'entre eux, Upstream (1927), qu'on croyait disparu, a néanmoins été retrouvé en Nouvelle-Zélande en juin 2010.