Dictionnaire des pièges et difficultés de la langue française

Edité par Bordas. Paris - 2003

Collection : Les Référents

Type de document
Documentaires Adultes
Langue
français
Descr. physique
896 p. ; 22 x 14 cm
Sujets
1er mention de responsabilité
  • Jean Girodet
Résumé
  • Regroupe de manière alphabétique les mots difficiles de la langue française, précisant l'expression, la forme ou l'orthographe juste et proposant un emploi de remplacement. Rappelle dans une deuxième partie les conjugaisons et règles principales.
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Quatrième de couverture

Don Juan ou la vie de Byron

André Maurois a signé beaucoup de biographies d'écrivains, mais celle qu'il consacra à George Byron est sans doute la plus hantée tant le poète romantique anglais, avec son génie et son pied-bot, était plein d'amertume, fier, infernal. « Pour les romantiques, écrit Maurois, la vie est une oeuvre. » L'inverse est également vrai : Byron a fait de son oeuvre un miroir, un tableau, un drapeau, un tombeau. Mort à 36 ans à Missolonghi pour la liberté de la Grèce, le poète de Childe Harold a aussi laissé des lettres et des journaux d'une terrible liberté de moeurs et d'esprit. En affrontant sa vérité, Maurois atteint aux mystères de l'âme romantique. Son art du récit, précis et fiévreux, tire le héros des flammes pour le plonger dans un bain de lumière.

Biographie

André Maurois, pseudonyme d’Émile Salomon Wilhelm Herzog, né le 26 juillet 1885 à Elbeuf (Seine-Inférieure) et mort le 9 octobre 1967 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un romancier, biographe, conteur et essayiste français. Il est l'élève du philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. Il préfère en effet une carrière littéraire à la direction de l’usine familiale et s’illustre d’abord par des romans qui lui gagnent un public féminin : Climats, Les Roses de septembre. Il obtient un prix d'honneur au concours général et passe sa licence de lettres. Sa première épouse est Jane-Wanda de Szymkiewicz (Jeanine) (1892-1924), fille d’un comte polonais avec laquelle il a trois enfants, deux garçons et une fille, Michelle. Interprète militaire et officier de liaison auprès du Corps expéditionnaire britannique en France et en Flandres pendant la Première Guerre mondiale, Maurois écrit en 1918 Les Silences du colonel Bramble, ouvrage qui connaîtra un vif succès tant en France que dans les pays anglophones. Il y traduisit sous le titre Tu seras un homme, mon fils le célèbre poème If de Rudyard Kipling. Cet ouvrage sera suivi des Discours du docteur O'Grady. Les événements de cette guerre lui fournissent son pseudonyme « Maurois », nom d'un village du nord de la France. À Paris, en 1924, il fait la connaissance de Simone de Caillavet, petite-fille de Madame Arman de Caillavet, née Léontine Lippmann, égérie et maîtresse d'Anatole France, et fille de Gaston Arman de Caillavet, auteur de pièces à succès ; elle deviendra sa seconde épouse. Mais c'est dans les biographies que l'écrivain excelle : il les consacre, avec une fraternité inspirée, à des écrivains comme Shelley, Byron, Victor Hugo, George Sand ou Balzac, mais aussi à des personnages politiques comme Disraeli et le général Lyautey, ou scientifiques comme Alexander Fleming. Le maréchal Pétain soutiendra sa candidature à l'Académie française ; il y est élu le 23 juin 1938, au fauteuil 26, qu'occupait René Doumic, contre Paul Hazard et René Pinon. Respecté de ses pairs, il restera titulaire du fauteuil près de trente ans.