Les Lois de l'hospitalité = Our hospitality

Edité par Lobster Films. Paris - 2019 Date du film : 1923

Type de document
Films
Langue
anglais
Descr. physique
1 DVD (72 min) ; 16/9, Couleur, Dolby Digital
Sujets
Note générale
  • Contient : Musique composée et dirigée en 2019 par Robert Israel ; La présentation du film par Serge Bromberg ; Composer pour Buster Keaton ; L'enregistrement d'une séquence ; Un duel à mort (1947) ; Galerie de photos.
Note sur les versions
Langue(s) principale(s) : Anglais ; Sous-titres : Français
1er mention de responsabilité
  • Buster Keaton, réal.
Autres mentions de responsabilité
  • John G. Blystone, réal.
Résumé
  • Au début du XIXème siècle, des querelles ancestrales opposent violemment les familles Canfield et McKay. Le jeune Willy McKay ignorant cette tragédie, arrive dans son village natal pour prendre possession de l'héritage familial. Mais invité à dîner par la belle Virginie Canfield, il se retrouve sans le savoir dans la maison de ses ennemis mortels - où les lois de l'hospitalité défendent absolument de massacrer un invité sous son toit...
Public destinataire
  • Dès 6 ans
Autre titre
  • Our hospitality (Titre parallèle)
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Biographie

Joseph Frank Keaton Jr., dit Buster Keaton, est un acteur, réalisateur, scénariste, producteur et cascadeur américain né le 4 octobre 1895 à Piqua (Kansas) et mort le 1 février 1966 à Hollywood (Californie). Humoriste célèbre pour son flegme, artiste ayant marqué le cinéma muet américain, il fut entre autres surnommé « l'homme qui ne rit jamais » par contraste avec Charlie Chaplin. « Buster » est un surnom générique (« pote ») signifiant aussi « casse-cou ». Il est un enfant star du vaudeville, se produisant dans le cadre du numéro itinérant de sa famille. À l'âge adulte, il commence à travailler avec le producteur indépendant Joseph M. Schenck et le cinéaste Edward F. Cline, avec qui il réalise une série de courts métrages comiques à succès au début des années 1920, tels que La Maison démontable (1920), Frigo fregoli (1921), Frigo déménageur (1922), et Frigo à l'Electric Hotel (1922). Il s'oriente ensuite vers les longs métrages avec des films tels que Sherlock Junior (1924), Le Mécano de la « General » (1926), Cadet d'eau douce (1928), et L'Opérateur (1928), qui restent très appréciés. Le Mécano de la « General » est peut-être son œuvre la plus acclamée, Orson Welles la considère comme « la plus grande comédie jamais réalisée […] et peut-être le plus grand film jamais réalisé,, ». La carrière de Keaton décline après 1928 lorsqu'il signe avec la Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) et perd son indépendance artistique. Sa première femme demande le divorce et il sombre dans l'alcoolisme. Il est renvoyé de la MGM en 1933, mettant ainsi fin à sa carrière au sommet du box-office. Sa situation se redresse quelque peu dans les années 1940 après son mariage avec {{Lien|langue=en|trad=Eleanor Keaton|texte=Eleanor Norris}} et il travaille comme comique respecté jusqu'à la fin de sa vie. Durant cette période, il fait des apparitions dans Boulevard du crépuscule (1950) de Billy Wilder, Les Feux de la rampe (1952) de Charlie Chaplin, Film (1965) de Samuel Beckett et dans divers programmes télévisés. Il reçoit un Oscar d'honneur en 1959. Le critique Roger Ebert écrit sur la « période extraordinaire de Keaton de 1920 à 1929 » où il « a travaillé sans interruption » comme ayant fait de lui « le plus grand acteur-réalisateur de l'histoire du cinéma ». En 1996, le magazine Entertainment Weekly classe Keaton comme le septième plus grand réalisateur de cinéma, déclarant que « ses films offrent des éclats de rire face à une invention physique ahurissante et une détermination spatiale qui se rapproche de la grandeur philosophique, ». En 1999, l'American Film Institute le classe comme la 21e plus grande star masculine du cinéma hollywoodien classique.