Chansons sur des poèmes de Ronsard

Edité par Harmonia Mundi - 1994

Type de document
CD
Langue
français
Descr. physique
1 disque compact ; 12 cm ; encart
Sujets
1er mention de responsabilité
  • Pierre de Ronsard
Autres mentions de responsabilité
  • François Regnard, Guillaume Boni, Jean de Castro, comp....[et al.]
Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

Suggestions

Du même auteur

La nature en poèmes : choix de poèmes | Ronsard, Pierre de (1524-1585). Auteur

La nature en poèmes : choix de poèmes

Ronsard, Pierre de (1524-1585). Auteur | Documentaires Adultes | Magnard. Paris | 2023

Un choix de poèmes célébrant la nature accompagné d'un dossier pédagogique. Avec cinq textes à écouter grâce à des QR codes. ©Electre 2023

Oeuvres choisies de Pierre de Ronsard, avec notice | Ronsard, Pierre de (1524-1585)

Oeuvres choisies de Pierre de Ronsard, avec n...

Ronsard, Pierre de (1524-1585) | Consultable sur demande | A. Sautelet. Paris | 1828

Les plaisirs du palais : Chansons à boire de la Renaissance | Visse, Dominique. Conducteur

Les plaisirs du palais : Chansons à boire de ...

Visse, Dominique. Conducteur | CD | Harmonia Mundi | 2001

En savoir plus

Biographie

Pierre de Ronsard, né en septembre 1524 au château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois, et mort le 27 décembre 1585 au prieuré Saint-Cosme de Tours, est un des poètes français les plus importants du XVIe. « Prince des poètes et poète des princes », Pierre de Ronsard est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, s'est portée aussi bien sur la poésie engagée et officielle dans le contexte des guerres de Religion avec Les Hymnes et les Discours (1555-1564), que sur l’épopée avec La Franciade (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Continuation des amours, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode (Mignonne, allons voir si la rose) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures, mais il utilisera de plus en plus le sonnet transplanté en France par Clément Marot en 1536 en employant le décasyllabe (Mon dieu, mon dieu, que ma maistresse est belle !, Les Amours, ou Je vous envoye un bouquet…, Continuation des Amours) comme le mètre « moderne » de l'alexandrin (Comme on voit sur la branche…, Second Livre des amours, ou Quand vous serez bien vieille…, Sonnets pour Hélène).