Syracuse

Happy Birthday Mr. Mograbi : (1 h 17 min), 1999<br/>

Comment j'ai appris à surmonter ma peur et à aimer Ariel Sharon : (1 h), 1997<br/>

Happy birthday... : En complément, trois courts métrages : Deportation (12 min 30), 1989 Relief (10 min 30), 1999 ; Wait, it's the soldiers, I have to hang up now (13 min), 2002<br/>

Août (avant l'explosion) : (1 h 12 min), 2002<br/>

Choix des langues : hébreu. Sous-titres : français, anglais<br/>

Happy Birthday Mr. Mograbi : Avi Mograbi fait un film sur les cinquante ans de l'Etat d'Israël. Il se rend compte que deux anniversaires ont lieu en même temps : le sien et celui des cinquante ans de la Nakba, la "catastrophe", le début du problème des réfugiés palestiniens dépossédés de leurs terres après la guerre de 1948. Parallèlement, il raconte les problèmes engendrés par un bout de terrain qu'il a acheté plusieurs années auparavant.<br/>

Comment j'ai appris... : en 1996, alors que la campagne électorale israélienne approche, Avi Mograbi décide de faire un film sur la figure politique contestée d'Ariel Sharon<br/>

Pour un seul de mes deux yeux : Alors que la seconde Intifada plonge les Israéliens dans la terreur et les Palestiniens dans le dénuement et la frustration, Avi Mograbi croit pourtant en la force du dialogue, avec les Palestiniens assiégés et avec l'armée israélienne omniprésente. Pour s'interroger sur le conflit, le réalisateur convoque les mythes de Samson et de Massada.<br/>

Août (avant l'explosion) : Avi Mograbi déteste le mois d'août. Il symbolise à ses yeux tout ce qu'il y a de plus insupportable en Israël. Au fil des trente et un jours de ce mois quelconque, il sillonne les rues avec sa caméra et nous livre ses réflexions. Un nouveau pamphlet du plus subversif des réalisateurs israéliens, analysant la paranoïa et la violence quotidienne en Israël.<br/>