Le premier été

Edité par Rouergue. Rodez - 2011

Collection : La brune

Type de document
Romans adultes
Langue
français
Descr. physique
1 vol. (162 p.) ; 21 x 14 cm
1er mention de responsabilité
  • Anne Percin
Résumé
  • Deux soeurs se retrouvent une fin d'été en Haute-Saône afin de vider la maison de leurs grands-parents décédés. Catherine, la benjamine, s'est tenue loin de ce village. Pourtant, chaque coin de rue ou visage croisé fait surgir en elle des souvenirs précis et douloureux.
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Quatrième de couverture

Pourquoi parle-t-on ? Que dit-on vraiment quand on parle ? Est-ce que je peux me servir des mots pour faire mal ou au contraire pour rendre les choses un peu meilleures ?

Dès le plus jeune âge, on nous apprend à parler, à conjuguer, à orthographier, à manier la grammaire et la syntaxe, mais on ne nous apprend pas pourquoi. C'est dommage, car la question du langage, des multiples façons dont on l'utilise, de ce qui motive ce qu'on dit et comment on le dit est indispensable à la compréhension du monde dans lequel on vit.

Parler, ce n'est pas seulement communiquer, c'est classer, c'est discriminer, bref, c'est agir : le langage est un outil et c'est aussi une arme qu'on peut apprendre à utiliser !

Biographie

Lucy Michel est docteure en linguistique et agrégée de lettres. Elle a enseigné la linguistique à l'université et a été professeure de français en collège. Son travail de recherche a principalement porté sur la relation entre genre grammatical et dénomination de la personne en langue française.

Mirion Malle fait de la BD, des dessins, de la sociologie et des tatouages. Elle parle souvent de féminisme, mais pas seulement... Elle est l'autrice de Commando Culotte, La ligue des super-féministes, et C'est comme ça que je disparais.

Source : Electre

Avis

Avis des lecteurs

  • Belle lecture 4/5

    Voici un tout petit roman dont j’ai vraiment beaucoup apprécié la lecture. En fait je crois qu’on peut dire qu’il y a un certain genre de livre, certains thèmes aussi, récurrents, qui me font choisir ces lectures. Sans doute parce que ça me parle, sans doute parce que ça touche quelque chose au fond de moi. J’ai pas trop envie de savoir quoi d’ailleurs, pas pour le moment en tout cas. Ce Premier été fait partie de ces livres là, avec une dimension nostalgique évidente, avec un regard d’adulte porté sur les souvenirs d’enfance et les émois adolescents, tout ça dans une histoire simple mais qui sonne tellement juste qu’on dirait du vécu. Et même si ce n’est pas le cas, pas exactement le cas voire pas du tout le cas, même si tout cela n’est qu’une pure fiction, ça relève finalement du vécu universel car on a tous des souvenirs plus ou moins proches de ceux évoqués ici, on a tous gardé au fond de soi des impressions plus ou moins intenses, plus ou moins enfouies, de nos 16 ans, de cette période un peu bizarre et un peu floue, de cet “entre-deux-âges” qu’on traverse avec plus ou moins de séquelles… Vraiment, le Premier été est un joli roman plein de sensibilité sur le sujet a priori banal des premiers amours et Anne Percin avec sa plume sensuelle et sensitive parvient à glisser de l’émotion entre les lignes les plus anodines. Il règne aussi dès le début un mystérieux malaise qu’on s’explique peu à peu et qui donne une dimension supplémentaire au roman. Quelque chose qui ronge la narratrice depuis ce fameux été, quelque chose dont elle cherche à se libérer avec ce long monologue survenant après des années de silence, mais quelque chose dont on sait pertinemment qu’elle ne se libèrera jamais. Je ne vais pas trop en dire sinon cette lecture perdrait de son charme (pour d’éventuels curieux qui voudraient s’y plonger) mais j’ai envie de terminer avec cette phrase tirée du livre et qui en traduit parfaitement l’esprit : “Tous les crève-cœurs de l'enfance sont des douleurs saignantes qui se referment et laissent des cicatrices. La sagesse n'est rien d'autre qu'un réseau de stigmates”.

    Rebby - Le 27 août 2016 à 14:47